Anas Ibn Mâlik rapporte : « Le jour durant lequel le Prophète -aleyhi salat wa salam- entra à Médine, toute chose s’illumina, mais le jour où il mourut, toute chose s’assombrit. Nous n’en avions terminé avec le Prophète -aleyhi salat wa salam- – alors que nous étions en train de l’enterrer – que nous démentions nos cœurs. » [Voir Jâmi‘ al-Tirmidhî avec Tuhfat al-Ahwadhî t.10 p.87-88] Ibn Hajar dit : « Il veut dire par là qu’elle [Médine] avait changé en comparaison à ce à quoi ils s’étaient habitués durant sa vie comme amour, sérénité et douceur, dû à la perte de ce qu’il leur apportait comme enseignement et éducation. »