À l'époque où un milkshake coûtait beaucoup moins, Un petit garçon de 10 ans, les poches remplis de monnaies était entré dans le café d'un hôtel et s'assit à une table. Une serveuse déposa un verre d'eau devant lui. " C'est combien pour un milkshake de crème glacée ? " demanda-t-il très poliment. " 50 cents " répond la serveuse. Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. Après examen, il baissa la tête d’un regard triste et dit : " Et combien ça coute pour un simple plat de crème glacée? " À l’autre bout de la salle, il y avait des gens qui attendaient pour une table. Et la serveuse commença à perdre patience. " OHHHH !!! (lassé)……35 cents " répondit-elle sèchement." Le petit bonhomme tout comme un grand : « Je vais prendre le plat de crème glacée » dit-il. La serveuse lui apporta sa crème glacée sans un mot, un sourire ni même un regard. Déposa l'addition sur la table et s'en retourna. Le garçon finit sa crème glacée, paya à la caisse et s'en alla. Quand la serveuse revint afin de nettoyer la table, elle eu la larme à l'œil en nettoyant la table. Pris d’un déchirement et d’un sentiment de culpabilité… Bien placé au côté du plat vide, il y avait 15 cents. Le petit garçon ne pouvait pas prendre le milkshake… parce qu'il devait lui rester suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire. Beaucoup de personnes donnent de l’importance au gens en fonction d’intérêts (comme son éloquence, à sa richesse, à sa position, à son âge, son expérience, son origine ou à d'autres raisons). Dans le cas du petit garçon, on observe que le facteur de l’âge (et donc du pouvoir d’achat) joue énormément. Nous avons tendance à être à l’écoute du riche plutôt que du pauvre. A suivre le vieux plutôt que le jeune. Cette femme doit penser qu’adopter un bon comportement ne s’applique qu’au personne susceptible de lui verser un pourboire…méprisant ! Exemple s’appliquant à cette histoire : Nous cherchons à débattre sur le thème de la religion avec une personne sous prétexte qu’il n’est pas croyant alors ne veut rien entendre et nous délaissons nos enfants, nos femmes, nos familles et nos amis qui eux ont une soiffent d’apprendre…nous les méprisons sous prétexte qu’ils sont acquis. Nous cherchons l’amitié d’un riche (qui ne l’a veut pas), en se rendant disponible à travers un tas de services (en espérant peut être secrètement obtenir quelque chose de lui un jour…ou pas) ? Et nous délaissons l’amitié d’un pauvre certes mais qui désire ardemment être notre ami. Moralité : Le mépris signifie le fait de dédaigner les gens, car une personne arrogante pense que les gens lui sont inférieurs et qu'elle s'élève au dessus d'eux. Ainsi, il faut toujours se rappeler la Majesté d'Allah, c'est Lui qui donne la richesse, la position, l'autorité, la beauté etc... On se montre reconnaissant envers Allah par la modestie et par le fait de s'abstenir de l'arrogance. Il n'est pas permis d'être orgueilleux à cause de la richesse, de l'emploi, de l'origine, de la beauté, de la puissance, de l’âge ou d'autres choses. Au contraire, il faut se rappeler que ces dons sont les bienfaits d'Allah (qu'Il soit Exalté) et qu'on doit Lui en être reconnaissant par la modestie, l'humilité et l'abstention de l'arrogance.