Abû al-Dardâ’ a dit : « Si ce n’était trois choses, je n’aurais pas aimé vivre un jour de plus : jeûner les jours de forte chaleur, se prosterner en plein milieu de la nuit, et s’asseoir avec des gens qui parlent en choisissant les meilleures paroles, tout comme on choisit le plus mature des fruits » [Al-zuhd d’Ibn al-Mubârak, p.277 ; târîkh Dimashq, t.47 p.159.]