Un jour, alors qu’Abû Shurayh marchait, il interrompit sa marche, s’assit, se voila le visage avec sa cape et se mit à pleurer. On lui demanda : « Qu’est-ce qui te fait pleurer ? », il dit : « J’ai songé à l’expiration de ma vie, à la médiocrité de mes oeuvres, et à l’imminence de mon terme » [Al-‘umr wal-shayb d’Ibn Abî al-Dunyâ, n°22.]